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 Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling]

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hermy
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Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling] Empty
MessageSujet: Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling]   Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling] Icon_minitimeDim 9 Nov 2008 - 14:36

Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling]

1. Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling] TransPrésentation
Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling], cycle romanesque britannique pour la jeunesse de Joanne Kathleen Rowling, publié de 1997 à 2007 et composé de sept tomes.
2. Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling] TransTrame du cycle
Orphelin à l’âge de 1 an, Harry Potter passe une enfance malheureuse chez son oncle et sa tante, dans le sud de l’Angleterre. À l’âge de 11 ans, il apprend qu’il est un sorcier et découvre le monde de la magie, dont il ignorait jusqu’alors tout, qui existe en parallèle et à l’insu du monde « normal », celui des non sorciers (les Moldus). Il est également informé que ses parents se sont sacrifiés pour le sauver du puissant mage noir Voldemort — que les sorciers désignent par des périphrases telles que Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom ou encore Vous-Savez-Qui —, auquel une prophétie avait annoncé que son pouvoir serait menacé un jour par un enfant né fin juillet, dont les parents l’auraient défié trois fois. Pour avoir survécu à l’attaque de Voldemort, au prix d’une cicatrice en forme d’éclair sur le front, Harry est devenu, dans le monde magique, une légende vivante.
Intégré à l’école des jeunes sorciers — l’école de sorcellerie de Poudlard —, qui propose un cycle d’études échelonné sur sept ans, Harry Potter étudie le monde de la magie. Acteurs capitaux de l’intrigue, les personnages de Ron Weasley et Hermione Granger, amis les plus proches du héros, utilisent leurs compétences pour venir en aide à leur ami. Figure paternelle de l’autorité, le professeur Dumbledore, directeur de l’école, veille sur lui, tandis que Voldemort, double maléfique de Harry, cherche, dès la première année, à le tuer ou à le faire souffrir par l’intermédiaire de ses disciples, les Mangemorts.
3. Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling] TransSources et références
Le monde magique créé par J. K. Rowling est une véritable société imaginaire qui fait en permanence écho au monde réel. Les références sociétales, notamment, abondent : l’organisation de l’école de sorcellerie se fonde sur les éléments communs aux différents systèmes scolaires (professeurs enseignant à leurs classes, systèmes de notation, punitions, examens de fin de cycle, etc.) ; la société des sorciers est organisée selon une hiérarchie stricte au sommet de laquelle figure le ministère de la Magie, assimilable à un gouvernement, qui édicte les règles de conduite des sorciers et condamne les abus et les dérives des pratiques magiques ; le système punitif est assorti d’un centre de détention (la prison d’Azkaban) ; un sport fédérateur (le Quidditch) génère l’engouement d’une grande partie de la population des sorciers, tandis que la presse est représentée par une publication sérieuse d’information (la Gazette du sorcier) et par un magazine à scandale (le Chicaneur). En outre, le combat d’Hermione en faveur des elfes de maison — serviteurs réduits à l’état d’esclaves —, à travers la S.A.L.E. (Société d’aide à la libération des elfes), introduit de manière fantaisiste le thème de la prise de conscience et de l’action « politiques ». L’auteur puise également dans les références historiques. Ainsi, le culte de la pureté du sang auquel se vouent les disciples de Voldemort, qui classent les sorciers en sang pur, « sang-mêlés » (sorciers ayant dans leur ascendance un ou plusieurs non sorciers) et « sang-de-Bourbe » (sorciers issus de parents moldus), rappelle de façon évidente les théories nazies et la logique de destruction du IIIe Reich.
Le monde de Harry Potter est également peuplé d’un bestiaire varié et polymorphe. Les créatures de J. K. Rowling puisent largement dans le symbolisme médiéval commun aux cultures occidentales, ainsi que dans les mythes des cultures antiques (mythologies gréco-romaine et égyptienne), les légendes scandinaves, celtiques, indiennes, etc. Apparaissent ainsi, tout au long de l’œuvre, les figures plus ou moins remaniées par l’auteur du Phénix, symbole de la régénération et de la renaissance, de la mandragore, du dragon, du basilic ; on y voit aussi un monstrueux serpent représentant des forces du mal dont le nom, Nagini, est directement tiré des nagini (divinités indiennes), etc. Le symbolisme animal, dont l’omniprésence inscrit l’ensemble du cycle dans la tradition des romans allégoriques, est notamment illustré par le fait que l’école de sorcellerie est organisée en quatre Maisons possédant chacune un emblème animal, dont les caractéristiques morales sont souvent à rapprocher de celles que l’on rencontre chez les élèves qui en font partie — les vertus du lion et du griffon (courage, hardiesse et force) associés à la maison Gryffondor, sont ainsi associées à la personnalité de Harry Potter et de ses amis, en perpétuelle lutte contre le mal.
Foisonnante de renvois littéraires, l’intrigue exploite également nombre de thèmes connus de l’imaginaire collectif et des croyances populaires : ainsi, le personnage de Dumbledore, par l’étendue de ses pouvoirs et son rôle éducatif, peut être rapproché de celui de Merlin, tandis que le mythe du loup-garou est réutilisé à plusieurs reprises.
4. Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling] TransL’écriture d’un succès
Caractérisée par la création d’une langue imagée, riche en descriptions inventives et humoristiques, l’écriture de J. K. Rowling mêle l’horreur au quotidien de Harry Potter, non sans créer, notamment par le biais d’un humour typiquement britannique, une certaine distanciation ironique — par exemple le rôle dévolu aux elfes, assimilés aux fées dans la tradition populaire (voir elfes), réduits dans la saga à des serviteurs méprisés, mal traités et résignés.
Par ailleurs, chaque tome traite des aventures initiatiques du héros au cours d’une année scolaire, celui-ci passant au fil des tomes de l’enfance à l’adolescence ; un procédé qui, faisant grandir le héros en même temps que les premiers lecteurs du cycle, confrontés aux mêmes questionnements et à des difficultés scolaires similaires, a grandement contribué au succès de l’œuvre.
5. Harry Potter [Joanne Kathleen Rowling] TransLe phénomène Harry Potter
Lorsque J. K. Rowling confie son manuscrit à un agent littéraire, un an s’écoule avant que celui-ci ne soit publié ; son ouvrage apparaît notamment trop long aux éditeurs démarchés. L’éditeur Bloomsbury finit par se porter acquéreur du premier tome, qui paraît en 1997 avec un tirage minime, sous le titre Harry Potter and the Philosopher’s Stone (Harry Potter à l’école des sorciers). Il remporte un franc succès, avant tout populaire (la presse en parle peu), et reçoit immédiatement plusieurs prix en Angleterre avant d’être traduit. Le succès est mondial, pour le premier opus de la saga comme pour les suivants. En 2003, la Bibliothèque nationale d’Écosse demande les brouillons du premier tome pour les classer patrimoine national. Le tome 6 du cycle, Harry Potter et le Prince de Sang-mêlé (Harry Potter and the Half-Blood Prince, 2005), se voit quant à lui traduit dans plus de 160 langues.
L’identification est immédiate pour les jeunes lecteurs, mais le succès de Harry Potter touche très vite un public beaucoup plus large. Se traduisant par quelques trois cents millions d’exemplaires vendus à travers le monde, la « Potter mania » est habilement entretenue par les éditeurs, grâce à un « marketing viral » (ou buzz marketing) qui consiste à utiliser les rumeurs comme vecteur de communication : le site officiel de l’auteur est une mine d’informations et de fausses fuites, la publication est limitée et la diffusion est parfaitement orchestrée. Parallèlement, la création de produits dérivés devient une manne financière supplémentaire.
Profitant de ce succès international, les studios hollywoodiens Warner Bros rachètent rapidement les droits de diffusion de l’univers de J. K. Rowling. Les premiers films sont vite tournés et bénéficient du même engouement que les romans. Le cycle romanesque ne fait cependant pas l’unanimité, puisque certaines communautés religieuses (aux Émirats Arabes Unis, en Australie, au Vatican ou encore en Bulgarie) ont interdit les livres, taxés de faire l’apologie de la sorcellerie et de l’occultisme.
Surfant sur la vague du succès de Harry Potter, un cycle parodique a été créé par Michael Gerber autour de Barry Trotter, adolescent fumeur, dépensier et porté sur la boisson.
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